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Parce que c’est lui qui compte ! (pas moi)

8 juillet 2011

Gisèle Bundchen, elle a défrayé la chronique il y a peu. Juste ici.

Comment ne pas réagir à cet article. Ou plutôt comment ne pas réagir aux commentaires engendrés par cet article ?
La Gisèle, elle peut bien dire et faire ce qu’elle veut même si sa position est à mon avis maladroitement exprimée.

Ce qui m’interpelle finalement, ce sont toutes ces réactions. Des coups de gueules, des prises de becs, des clans : les pro-nichons d’un coté, les pro-gallia de l’autre et cette lutte interminable à coups de « moi, j’ai raison et tu as tort », « moi je suis libre de mes choix et j’assume mon allaitement ou mon non-allaitement »
De tout ce que j’ai pu lire déci-delà, une intervention m’a profondément touchée. Pleine de vérité.

« (…) La question de l’allaitement va bien au-delà du « choix » (extrêmement égocentrique…) de LA femme: il s’agit d’une question sanitaire pour l’enfant: et de premier ordre quand on découvre régulièrement que l’alimentation industrielle (dont le lait infantile…) est responsable de la multiplication des cancers, dérèglements endocriniens, maladies auto-immunes, j’en passe, et pas des meilleures… On ramène toujours tout à la mère: SA grossesse, SON accouchement, SA maternité, etc: dans tous les débats concernant la relation parents/enfants aujourd’hui, il y a un grand absent: l’enfant…. pensez-y un peu, avant de hurler à la liberté des femmes (ou ne faites pas de gosses alors: Car il est LA, le choix.) »

Elle a su transcrire en quelques mots les raisons qui ont fait que j’allaite mon fils, les raisons qui m’ont fait modifier mon alimentation pendant ma grossesse, pendant les premières semaines d’allaitement, ces raisons qui m’ont fait abandonner mon corps à l’autre, l’espace de quelques mois (années ?), ces raisons qui font que je ne suis plus la priorité depuis que je me suis pissé sur les doigts le 18 juillet 2009 à 7h du matin et que ce fameux trait rose est venu  bousculer le cours de ma vie.
J’ai décidé de faire un enfant, nous avons décidé de faire un enfant et de lui donner le meilleur, avant même la grossesse.
Et lorsque j’ai arrêté mon contraceptif, je savais que je passerai alors au second plan, que je venais de prendre une décision lourde de conséquences, que je m’engageai pour la vie en acceptant de concevoir un être vivant qui n’a rien demandé et qui serait dépendant de nous, de moi.
Avant même d’être enceinte, je me sentais déjà maman, chargée d’une mission d’une importance extrême.

Une fois enceinte, mon corps est devenu un incubateur, une machine à créer la vie. De là, j’ai, naturellement, effectué tous mes choix en fonction du gnome qui poussait dans mon ventre.
Ma mère m’a souvent répété qu’elle n’a jamais croisé de femme enceinte aussi chiante et aussi stricte sur les choix de bouffe ou le lavage des légumes (non immunisée toxo), la non-consommation d’alcool, etc.
Je continue de prendre ça comme un compliment.

Lorsque tu décides de procréer, tu ne peux pas l’envisager à la légère, fumer, boire, manger des sushis ou du saucisson.
Malgré les aléas de la vie, les choix que nous faisons sont normalement dictés par le bon sens et notre priorité reste de faire du mieux que nous le pouvons pour ce petit être.
Dans cette optique, l’allaitement est donc une évidence.

Avant d’être enceinte, j’ignorais la composition des laits artificiels à l’huile de palme ou des petits pots aux maltodextrines. J’ignorais ce qu’était une maltodextrine (merci maman de m’avoir éclairée).
Mais quand t’es en cloque, que t’es confinée chez toi à t’abrutir devant les maternelles dès 9h du mat’, t’as un peu de temps à perdre sur le net entre deux choix de layette pour te renseigner sur la future alimentation de ta descendance.
Et là, c’est l’hallu totale.
Seule avec mes chats, empêtrée dans mon canapé, le laptop au bout des doigts, que découvrais-je, naïve primi que j’étais : le lobbying de l’alimentation des tout-petits.
Gallia, Guigoz, Nidal, Modilac, Novalac, Bledina – pour ne citer qu’eux –  sont en réalité inadaptés à l’alimentation des tout-petits mais pire, ils contiennent de véritables poisons.

De là, j’ai découvert des marques en marge de la grande distribution comme HIPP, Babybio, Evernat (les deux premiers sont maintenant distribués en grandes surfaces, Casino pour HIPP et Leclerc pour Babybio).

J’ai surtout été confortée dans ma décision d’allaiter mon fils et j’ai pris la décision de lui préparer – le plus souvent possible – sa bouffe une fois diversifié.

Cela fait-il de moi une mamuniste en devenir (ou déjà établie, qui sait !) ? Peut-etre aux yeux de certains. A mes yeux, ça fait simplement de moi une maman.
Une maman, ça apprend à son petit ce qui est bien, ce qui est mal, ça joue, ça rigole, c’est sérieux quand il le faut, ça fait des bisous, ça cajole, ça console, ça rassure, ça protège. Une maman PROTÈGE son petit.

Quand on t’explique que telle ou telle chose est néfaste pour ta progéniture, tu t’en éloignes. C’est l’instinct.
Que nos mères nous aient gavés de Gallia-caca est une chose, elles n’avaient pas accès aux informations et aux diverses études scientifiques auxquelles nous avons accès aujourd’hui.
Qu’une maman choisisse aujourd’hui, en toute connaissance de cause, de donner à son tout du Guigoz-o-Prout est, par contre, ahurissant.
De donner à son enfant des choses néfastes, à répétition et dès la naissance, je ne le comprends pas.

Je conclurai en vous incitant à aller lire cet article dont la métaphore est extrêmement bien trouvée et en rappelant aux parents que selon l’Organisation Mondiale de la Santé, pour nourrir nos enfants le lait artificiel n’est à considérer qu’en dernier recours après :

1/ l’allaitement ;
2/ le lait de la mère exprimé et donné à l’enfant autrement qu’au sein ;
3/ le lait d’une autre maman ; et
4/ la nourriture artificielle

From → Gnome, Grossesse

40 commentaires
  1. Sarah permalink

    J’adore!!!

  2. Elly permalink

    Et pourtant quelle fermeture d’esprit.

    Je suis biberonnante, et fiere de l’etre, et je fais comme je peux.

    J’ai allaité mon fils jusqu’à un mois et demi, et puis mon lait s’est tari (non, je ne veux pas entendre que ce n’est pas possible, que je m’y suis mal prise. Allaitement suivi, sein à la demande, aucune raison apparente, et pourtant c’est arrivé).

    Je suis une maman célibataire (suite à des violences conjuguales, je n’avais pas prévu de me retrouver seule), qui vit avec les 600 euros que la CAF veut bien lui donner pour vivre avec son fils (j’ai trouvé du travail, j’ai commencé le 2 juillet). Et je donne du Gallia à mon fils, pour la simple et bonne raison que c’est le seul lait qu’il supporte.

    Donc merci de garder vos jugements. Je trouve ça blessant pour celles comme moi qui n’ont pas le choix.

    • delclos permalink

      3 enfants,5 ans d’allaitement, et pourtant, je comprend ton positionnement…caque histoire se construit avec le réel, je n’avais jamais envisagé allaiter aussi longtemps, comme toi les péripéties que tu as traversées…heureusement que les LA existent, mais quel dommage que la plupart des meres pensent que c’est mieux que le leur… désinformation, mensonge et lobbing sont responsables, il faut que les gens sachent la vérité.je te souhaite du courage, bravo pour avoir tenu 6 mois d’allaitement dans les conditions que tu as rencontrées…

    • Chère Elly, je pense que vous avez pris pour vous mon avis personnel. Je ne vous connais pas, je n’ai donc pas écrit mon article contre vous, ni dans le but ultime de vous blesser (ou de blesser Cathy).
      Je l’ai écrit par conviction d’une part – comme le souligne parfaitement Nanette – et surtout parce qu’à ce jour, l’enfant est oublié, occulté, et qu’il me semble primordial, basique de lui rendre sa place.
      C’est tout de même aberrant de vouloir faire un enfant et, une fois devenus parents, de ne pas lui laisser de place à proprement parler dans un débat qui le concerne au plus haut point !
      Lui qui n’a rien demandé, lui qui ne dépend que de nous, de nos choix.

      Ensuite, je n’ai peut-être pas été très claire mais je le précise ici : les mères que je ne comprends pas sont – entre autres – celles qui n’essaient même pas d’allaiter, qui stoppent chimiquement leur montée de lait et biberonnent dès la première heure à coups d’huile de palme en toute connaissance de cause.
      Mais là encore, chacun sa vie, chacun ses choix.
      Cela ne vous empêchera pas de continuer à être blessée ou gênée par les articles traitant de l’allaitement, tout comme cela ne m’empêchera pas de continuer à être ahurie par certains comportements.
      Pour conclure, NeedForDreams a eu une réponse à votre message qui aurait parfaitement pu être la mienne (je suis presque jalouse tellement c’est bien dit !).
      Pourquoi culpabiliser alors que vous avez essayé parce que vous avez conscience de la qualité du lait maternel par rapport au lait artificiel ?

  3. ça résume assez bien ma vision des choses!

  4. delclos permalink

    l;k,j

  5. merci pour le lien 😀

    • Il n’y a pas de quoi, j’ai trouvé ton article intelligent et la métaphore est la bonne.

      • ça fait un bout de temps que je l’avais en tête et que je voulais la pondre celle ci 😉 !

  6. cathy permalink

    ohlala! ben voilà je suis en larme vous me faites culpabiliser! je suis en train de sevrer mon bébé de 5 mois car je vais reprendre le travail et que je n’arrive pas a tirer mon lait (a peine 20ml enplus d’1/2h) et c’est douloureux donc je fais l’allaitement mixte au sein et au LA …. et là maintenant je sais plus quoi faire pour bien faire…..

  7. Bravo pour ce super article, qui a entre autres le mérite d’apporter un souffle nouveau sur le sempiternel débat nichon/bib, je trouve. Car c’est clair qu’on ne parle quasiment jamais de l’enfant dans tout ça, trop petit pour exprimer son choix, et à qui on impose donc arbitrairement le notre. Prendre conscience de ça c’est, à mon sens, la base de tout, et pas uniquement pour l’allaitement. Et ça fait du bien de lire quelque chose qui ne cherche pas à faire dans le « tiède »! :o)

    Quant au commentaire d’Elly, tout comme les autres femmes dans ton cas, je me mêle peut être de ce qui ne me regarde pas en te répondant et je m’en excuse: je crois que tu ne devrais pas te sentir agressée par cet article, ni par n’importe quel autre sur l’allaitement. Si ton lait a tari, sans raison (et je sais que ça arrive réellement), alors en quoi devrais tu te sentir visée et estimer qu’il y a une fermeture d’esprit dans un article qui dit que l’allaitement, c’est le meilleur pour l’enfant? Tu le sais toi aussi, tu as donné le sein! Ce n’est pas ta faute si tu ne peux plus, c’est la vie. Mon allaitement a failli s’arrêter lors d’une longue hospitalisation de ma fille ou je n’ai pas pu continuer à l’allaiter. J’ai tiré mon lait, mais au bout de plusieurs semaines, il aurait pu se tarir sans stimulation de l’enfant et avec la fatigue, le stress… j’ai eu de la chance, ça n’est pas arrivé. Mais je sais que c’était possible, et si ça avait été le cas, je ne me sentirais pas coupable aujourd’hui de donner un biberon à ma fille, car ça ne serait pas mon premier choix mais une nécessité. Et en aucun cas, je ne remettrais en cause la supériorité écrasante du lait maternel sur tout autre lait pour l’alimentation d’un bébé humain.

    • Merci.
      L’enfant devrait, en effet, être au cœur de ce genre de débats mais pour les grandes marques, il est plus simple et plus efficace de « passer par la mère ». Tout tourne autour d’elle, de SON ventre (et pas de ce qu’il y a dedans) puis de SON rôle de mère et pas de ce qu’elle devrait faire EN TANT que mère.
      Du coup, on entend toujours « pour le bien de la mère », « pour soulager la nouvelle maman », « pour soutenir la mère », « pour conseiller la mère »… Mais bon sang, pour la santé du gamin, que dalle !

  8. C’est tellement bien écrit. Pour ma part je n’y vois aucune fermeture d’esprit mais une conviction profonde et un état de faits sur quelque chose de NATUREL.
    Très bel article.

  9. Et j’ajouterais que ce n’est pas aux mères de culpabiliser mais c’est la faute aux industriels qui foutent de la merde dans le LA et qui désinforment les parents – la faute à la publicité mensongère, au lobbying des industriels, au manque de formation des médecins et du personnel de santé, etc, etc. Oui, le LA devrait être une béquille et une solution alternative et n’est pas à placer au même rang que le LM. Heureusement, pour les mères qui ne peuvent pas ou plus allaiter (ou ne le souhaitent pas ou plus), il y a des laits bio sans huile de palme et autres cochonneries. Mais le LM est juste ce qu’il y a de meilleur. Pour autant, personnellement, je ne cherche jamais à culpabiliser les mères qui n’ont pas le fait le choix d’allaiter. Ce sont les discours autour de l’allaitement qui doivent changer avant tout

    • Oui mais non.
      Évidemment les industriels ont tort, évidemment la désinformation, ça pue-du-cul, mais bon sang, on est en 2011, on a tout de même des moyens pour s’informer un minimum (du moins, en France).

      Je suis la première de mon groupe d’amis à avoir eu l’idée saugrenue de faire un môme.
      Personne n’est venu me prévenir des merdes qu’on trouve dans le lait artificiel ou dans les petits pots, personne ne m’a dit « attention, l’allaitement, ça ne coule pas de source !, il se peut que tu en chies sévère (ce qui a été le cas) », etc.

      Je me suis renseignée. J’ai fait appel à ma cervelle en me posant quelques questions simples puis je me suis référée à des professionnels de la santé (par fois au net, mais je vérifiai toujours mes lectures hasardeuses auprès de professionnels).

      Si, enceinte, primipare, pour une grossesse choisie, tu ne t’intéresses pas un minimum à ce qu’il va se passer pendant et après la grossesse (problèmes d’alimentations des tout-petits compris), ben je trouve ça inquiétant.

      Nous avons le pouvoir de ne pas laisser la désinformation gagner, utilisons-le à bon escient !
      (et cessons de nous cacher derrière les industriels pourris !)

  10. Magnifique… Je me permets de partager!

  11. oui je suis assez d’accord sur une chose : tout dépend de sa propre vision de sa propre vie de maman. et je pense qu’on ne peut pas avoir de vision personnelle sur la vie des autres. du moins on peut en avoir une, mais éviter de s’ingérer dans la vie des autres!

    • On a tous une vision personnelle, un avis, une idée sur des tas de choses, allaitement compris.
      Loin de moi l’idée d’aller voir chez chacun comment ça se passe, néanmoins, il y a des choses que je ne saurai cautionner ou encourager. Je pense que vous l’avez bien compris 🙂

  12. La bonne nouvelle c’est qu’on est en train de fabriquer du lait maternelle qui sera produit par les vaches. Sûrement mieux que le lait en poudre dans la classification OMS of course ! 😀
    Et d’ailleurs babybio, le lait 2ème âge, le premier composant c’est : maltodextrines.

    • Bonne nouvelle, bonne nouvelle, c’est vite dit.
      Attendons de voir ce que ça donne, la dite-vachette étant née en avril dernier, il n’est pas encore certain qu’elle puisse réellement assurer une descendance, et réagir positivement à une stimulation de « fausse grossesse », etc.
      De plus, cela fait de cette vache un Organisme Génétiquement Modifié sur pattes. On n’a pas une bonne image des O.G.M. végétaux, pourquoi un O.G.M. animal aurait-il plus de succès ?
      On aura donc – d’ici quelques années – un nouveau débat : « LA-palme ou LA-OGM ? Lequel est le moins pire ou le retour de la vengeance de Gallia Calisma 2 ! »

      Pour Babybio, il est vrai que leur lait artificiel contient des maltodextrines, d’autres laits bio contiennent aussi de l’huile de palme, des sucres à outrances, etc.
      Néanmoins, Babybio fait une ligne de petits pots avec pas trop de merdes dedans ! (comme Hipp ou Evernat – pour ceux que j’ai pu tester tout du moins).

  13. mumaddict permalink

    un bel article, et surtout bien renseigné.
    je suis une maman allaitante, mais pas pro-allaitement pour autant. bien entendu j’ai conscience que le lait maternel est le meilleur et je met l’allaitement en avant lorsque l’on me demande mon avis. cependant le bien être de la mère est lui aussi très important, il ne faut en aucun cas les faire culpabiliser. Les laits industriels sont promotionnés comme des laits équivalent au LM, même si c’est loin d’être le cas. moi je dirai que l’essentiel du problême, c’est la manque d’informations des jeunes maman et pendant la grossesse.

    • Oui, tout comme je l’ai répondu à Audrey, le manque d’info et la désinformation ne nous aident pas MAIS nous pouvons changer cela (et pas seulement au sujet de l’allaitement !).

  14. Emmanuelle permalink

    Elly, à 1 mois et demi c’est-à-dire environ 6 semaines, de nombreux sevrages non désirés arrivent car le bébé traverse une période de pointe, une sorte de poussée de croissance (pas forcément au 1er sens du terme). La maman est persuadée de ne plus avoir assez de lait et le bébé se met à réclamer de nombreuses fois ; c’est un passage de quelques jours durant lesquels la maman doit donner le sein +++++ afin que la production lactée s’adapte à la nouvelle demande de bébé. C’est malheureusement un grand classique des sevrages précoces. Le manque d’informations et de soutien pour l’allaitement maternel en France est inadmissible. Quant à Cathy, il serait bien de vous diriger rapidement vers un groupe de mamans allaitantes (LLL ou autre) afin de vous aider soit à tirer votre lait sans douleur soit à sevrer sereinement.
    Je suis d’accord à 100% avec cet article.

    • Merci.
      Les pics de croissance ne sont pas de tout repos (6 semaines, 3 mois, 6 mois, 9 mois, 12 mois), les poussées dentaires, la fièvre et toutes les petites maladies (rhume, otite, etc.), les changements dans la vie de tous les jours (adaptation à la crèche, nounou, garderie, déménagement, etc.) ne facilitent pas l’allaitement car ce sont des moment pendant lesquels nos enfants ont encore plus besoin de téter…
      Un rien peu impliquer une demande plus intense sur quelques heures ou quelques jours.
      Il ne faut pas baisser les bras et il faut savoir s’entourer (amis, famille mais aussi et surtout professionnels de l’allaitement, bénévoles).

  15. Merci à vous pour vos retours, vos partages et vos likes.
    J’étais absente ce weekend mais je prends le temps de vous répondre aujourd’hui (et vous m’avez laissé un peu de boulot !).

  16. anania aliénor permalink

    moi je voudrais interdire la publicité pour les laits industriels vous savez celle ou l y a un biberon rempli de frites et qui dit que donner autre chose d-que du Lait industriel c’est comme donner des frites à son mome…… elle m’a toujours fait gerber cette pub. Deux allaitements foirés car deux bebe qui refusaient le sein, 21 laits essayés pour mon gd avant d’abandonner pour donner du lait de vache et miracle ca passait mieux. Apres avoir subi les remarques désobligeantes des pro allaitement, pour une maman profondément bléssée par le refus de son bébé pour le sein alors que l’allaitement était une conviction profonde pour moi j’ai eu à subir les remarques désobligeante des pro biberons qui tout en donnant d la merde à manger à leuir mome entre les biberons se permettaient de crier au scandale qd je faisais couler dans le gosier de mon bebe le nectar d’une bete, imaginez un animal nourrir mon bébé. Je crois que malheureusement nous vivons dans un monde qui ne reflechis pas asser à nos enfants à ce que nous leur laissons et dans quel état nous leur laissons. Je pense aussi à une maman qui allaitait son bébé tout en buvant du coca ( 1, 5 l par jour) et qui s’est permis un jugement sur mon « non » choix de couper mon lait. Tout ca pour dire que chacun fait comme il le peut et pas forcément comme il le souhaite et que ce qu’il manque le plus c’est certainement la tolérance que je retrouve contrairement à d’autre dans ce très bel article. Alors bravo

  17. Karine permalink

    Je deteste 🙂

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